Quand la Grande-Bretagne était une pute
When england was the whore of the world
Margeret was her madam
And the future looked as bright and as clear as
The black tarmacadam
Well I hope that she sleeps well at night, isnt
Haunted by every tiny detail
Cos when she held that lovely face in her hands
All she thought of was betrayal
mouais...
RépondreSupprimerUne grande dame, très apréciée en Irlande.
SupprimerBel hommage funèbre...
RépondreSupprimerIl était en avance.
SupprimerJ'ai bien peur que le monde se souvienne mieux et plus longtemps de Mme Thatcher que de votre petit chanteur… C'est injuste, je sais…
RépondreSupprimerSans aucun doute, mais je préfère écouter les disques d'Elvis Costello.
SupprimerPour ma part je préfère Elvis Platiné et ses delcos à cet insipide chanteur engagé et concerné, évidemment. Rien ne me gonfle plus que tous ces artistes, quel que soit leur art (avec les guillemets qui s'imposent pour certains) qui se piquent de donner leur avis sur la marche du monde alors qu'on attend d'eux qu'une chose : qu'ils fassent leur métier.
SupprimerFaut le comprendre, il est irlandais.
SupprimerComprendre, c'est une chose. Excuser...
SupprimerEt pourquoi un artiste ne donnerait-il pas son avis sur la marche du monde ? C'est réservé à une caste de privilégiés ?
SupprimerEt depuis quand un Costello serait-il un "artiste" ? C'est un auteur de chansonnettes, ce qui n'est pas forcément nul (sauf que c'est presque toujours nul). Et qu'est qu'est-ce qu'on en a à foutre, de ce que peut penser un auteur de chansons du monde tel qu'il va ?
SupprimerC'est vrai : qu'est-ce qu'on a à foutre de ce que pensent les autres, dans cette société où l'individualisme est érigé en système ?
SupprimerL'ultra-libérale est un égo-centrique (le stade d'après c'est malade mental), toute sa politique est basée sur l'individualisme, il n'y a aucune raison qu'il pense un quart de dixième de seconde aux autres, encore plus si c'est des pauvres.
Supprimer@ Kalondour :
RépondreSupprimerPour la bonne et simple raisons, qu'à part quelques rares spécimen, leur avis se limite à une succession de platitudes, de poncifs passablement éculés, le tout présenté sous le vernis écaillé de la soi-disant transgression émancipatrice qui se réduit au simple fait de tataner un corps déjà au sol. Déjà que la majorité des réalisateurs français ne peuvent s'empêcher de faire dans "l'art militant", oubliant au passage une des plus vieilles recettes qui consiste à montrer plutôt que démontrer quand on veut intéresser, si en plus on doit se farcir leurs avis contrôlés et estampillés par Solférino ou Colonel Fabien, merci bien.
Si je veux entendre ce genre de chose, j'allume mon poste de télévision et je regarde le JT de 20 heures où les niaiseux des cercles autorisés viennent s'épancher de leurs mauvaises humeurs.
@ Fred Camino :
Ainsi donc l'ami Didier et moi-même serions des ultra-libéraux. Permettez-moi quelques rires sous cape. Déjà, le terme "ultra-libéral" ne se rattache à aucune des nombreuses chapelles du libéralisme, c'est une invention de journalope. L'ajout d'ultra sous forme de préfixe étant censé instiller une sainte trouille dans les esprits. Sinon, cela prouve que vous ne comprenez rien à la nature des réactionnaires.
Ultra-libéraux, libéraux, réacs, unionistes...tout ceux qui arrivent à voir du positif chez Maggie en fait.
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