Johnny et la déception américaine
Il avait tout compris depuis le début ce bougre de Johnny et merci à Charlie Hebdo pour le rappel. Le rêve américain est plus proche du cauchemar, on le savait aussi mais j'ai l'impression qu'il ne disait rien pour ne pas décevoir ses fans en blouson de cuir à frange et au bandana impeccablement repassé, parfois aussi beaufs que le cow-boy américain de base.
Un peu de musique avec Jock-O-Rama des Dead Kennedys:
Il avait peut-être tout compris, comme vous dites, mais ça ne l'empêchait pas de vivre les deux tiers de l'année à Los Angeles, afin de pouvoir y scolariser ses filles : pas fou, le rocher…
RépondreSupprimerJe me doute bien. Franchement si je devais choisir une ville américaine pour y vivre, Los Angeles serait mon dernier choix.
SupprimerAvant-dernier choix, en ce qui me concerne : mon dernier serait Las Vegas. Sinon, je choisirais sans doute d'aller vivre au Texas voire en Alabama ou Caroline d Sud : l'idée flatte mon côté nauséabond…
RépondreSupprimerA chaque fois que je lis Alabama je pense à Lynyrd Skynyrd.
SupprimerMoi aussi, évidemment…
Supprimer(Non, je déconne ! En fait, je penserais plutôt à Neil Young, si vraiment je devais penser à quelqu'un.)